Après une restructuration et une série d’échecs, Atari n’était plus un acteur prépondérant sur le marché. Au bord de la faillite, Sam Tramiel réunit tout le savoir faire de ses équipes américaines et européennes pour jouer le tout pour le tout.

Comme les Nintendo, la Jaguar, manufacturée par IBM, utilisait des cartouches. Tout comme les premières consoles Atari, la Jaguar utilisait une architecture puissante mais complexe. Le microprocesseur de la console était un Motorola 68000 et deux autres composants se chargeaient du plus gros du travail. Tom, avec trois processeurs, prenait en charge la 3D, les sprites et les effets graphiques. Jerry prenait en charge le son.

Le hardware de la Jaguar dépassait la SNES et la Mega Drive pour un prix inférieur. Mais sans marketing et sans support de la part des développeurs la fin fut précipitée.

 

Atari planchait sur un projet de console du nom de Panther avant de l'abandonner au profit de la Jaguar.

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